We asked some of our graduates to share their thoughts about the program’s impact on them as women, and whether they believe this impact is different than that experienced by men.

 

“This EMBA McGill-HEC Montreal experience made me a better person by creating an awareness of the different hats I wear as a mother, spouse, and career-oriented woman. It helped me become a more balanced individual and consequently more efficient in stressful situations by teaching me to focus on what matters most. I don’t feel as guilty for having high aspirations with young children as I am more mindful with my time and make it count by removing waste and managing my energy instead of my time.”
Zahida Intwala (EMBA 2017), HR Project Manager – Global Training Strategy, CAE

 

“The EMBA has an impact, but I don’t think that it is any different for a woman than for a man.”
Marie-Pier Germain (EMBA 2016), Directrice régional et directrice du design des hôtels, Germain Hôtels

 

«Plusieurs femmes ne se font pas suffisamment confiance pour revendiquer la place qui leur revient et appliquer sur des postes de niveau supérieur. Le programme aide à remédier à cette lacune puisqu’au-delà des connaissances et d’un réseau, il procure de la crédibilité et de la confiance.»
Julie Normand (EMBA 2017), Chef des services administratifs, Delegatus services juridiques inc.

 

«Je ne suis pas certaine que l’EMBA ait un impact particulier pour les femmes. Nous sommes en général assez bonnes pour la réflexion, le partage et la communication. Par contre, peut-être que le programme nous “force” à resauter davantage, ce que nous avons tendance à négliger.»
Carine Monge LL.L, LL.B, Pl.Fin, (EMBA 2015), Business Consultant, CM Consultation

 

“In finance, there are a lot more men than women in general, but this is probably only due to differences in interests. For example, in my business unit, the proportion of men is 75%. However, I think that at the executive level, experience and education of the individual are taken into consideration and in my case, the EMBA McGill-HEC Montreal allowed me to stand out and, once I got the job, helped me in making the role a more strategic role and bringing an innovative vision to the unit.”
Francine Laurin (EMBA 2011), District Vice President, TD Bank Group

 

« Je crois que les femmes qui entrent dans l’aventure le font d’abord et avant tout dans un objectif personnel, pour devenir de meilleures personnes et de meilleures gestionnaires. Évidemment, éventuellement, l’EMBA ouvrira de nouvelles opportunités de carrières, mais je ne crois pas que ce soit l’objectif premier des femmes à l’EMBA.  Elles font le choix du programme avec minutie et s’investissent avec rigueur et discipline dans l’exercice.  Je crois que le plus grand impact de l’EMBA pour une femme est l’acquisition de confiance en soi.
De plus, la femme a un besoin plus grand de performer dans toutes les sphères de sa vie en général – en tant que maman, que conjointe, que patronne, qu’amie, etc. En cours de programme, la charge de travail de même que la fatigue ne permet pas d’atteindre la performance dans toutes les sphères et ce sentiment est lourd à gérer. Surtout lorsqu’on veut également obtenir de bonnes notes à l’EMBA!  Il faut donc apprendre à lâcher prise, à accepter que ses enfants ne mangent pas équilibrés à l’occasion, que la maison soit à l’envers et qu’un B+, c’est très acceptable! »
Marie-Lucie Paradis (EMBA 2017), Vice-Présidente Distribution Stratégique et Communications chez Intact

 

“I think that the main impact of the EMBA for a woman is in the confidence that such a program can provide. It confirms that we already have most of the knowledge and instincts necessary to make the decisions we need to make each day. Obviously, this program brings us respect and renewed credibility in our organizations. The EMBA also significantly contributes to expanding our networks, which is too often overlooked by women in business.”
Anik Girard (EMBA 2014), General Manager and publisher at Transcontinental Media

 

«Je ne crois pas que l’impact est différent chez les femmes, je crois que tout participant en trouve sa crédibilité améliorée. Le fait d’avoir intégré les études aux autres sphères de la vie (professionnelle, familiale, etc.) démontre sa capacité à gérer plusieurs dossiers à la fois. Cela démontre également une grande curiosité, une ouverture et un désir d’apprendre.»
Nathalie Simard (EMBA 2012)

 

«Il s’agit d’une opinion bien personnelle, mais selon moi, les femmes font encore  beaucoup de choses différemment des hommes en affaires. Le sens des priorités varie souvent, elles ont souvent à gérer la culpabilité (ou la pression sociale) qu’elles ressentent parfois à dédier temps et énergie à l’avancement de leur carrière; elles sont souvent hyper perfectionnistes, ce qui tend à les ralentir dans leur évolution professionnelle en raison de la volonté de vouloir toujours présenter ou promouvoir des initiatives qui sont « parfaites »; elles délaissent souvent la possibilité de resauter au détriment d’autres responsabilités, car elles ont l’impression qu’il s’agit de temps qu’elles prennent « pour elles-mêmes» au détriment de leur emploi ou de leur famille alors qu’il s’agit plutôt de temps d’affaires qui sert entre autres à faire rayonner leur organisation; elles font souvent la promotion de « l’Équipe » au détriment de leurs accomplissements personnels, etc. Bref, pour toutes ces raisons, les femmes ont besoin d’outils pour leur permettre de jouer sur le même pied d’égalité que les hommes, qui œuvrent depuis toujours dans le milieu des affaires et surtout dans la sphère des hauts dirigeants.
Je fais peut-être erreur, mais ces derniers ne semblent pas s’imposer le même niveau de  pression indue que les femmes s’imposent à elles-mêmes pour ressentir le sentiment d’accomplissement personnel/professionnel. L’EMBA de McGill HEC aide les femmes à atteindre cette égalité, en ce qu’il outille les femmes (comme tous les participants) à réaliser qu’il ne faut pas attendre, il faut agir; il ne faut pas désirer que la perfection, car celle-ci est subjective et s’atteint seulement à force d’itérations. Bref, il faut foncer lorsqu’on a un plan. L’EMBA permet justement ça – il aide à établir des plans solides et à les mettre en œuvre et, plus important encore, il permet à tous les participants de développer leur courage managérial, un élément essentiel aux vrais agents de changement.
All these tools, and more so, greatly help level the playing fields between men and women in the corporate sphere. Il ne s’agit pas d’une question d’estime de soi, car je suis convaincue que toutes les femmes qui s’inscrivent à l’EMBA ont confiance en elles, c’est d’être capable d’agir quand il le faut et d’avoir le courage de se mettre de l’avant et de soutenir ses décisions d’affaires.»
Chantal Robitaille (EMBA 2016), Director of Administration at Blake, Cassels & Graydon LLP